Pourquoi les bonnes résolutions n’aboutissent que rarement ?

Savez vous pourquoi les bonnes résolutions ne vont que rarement jusqu’au bout ?

Par définition, le mental n’est pas patient et dans sa propension à vouloir tout contrôler, il s’affranchi des étapes du processus d’apprentissage. Connaître ce processus permet de comprendre comment s’y prendre pour qu’elles aboutissent.

Comprendre les cycles d’apprentissage ou d’intégration c’est surtout découvrir la patience et donc la ténacité-constance qu’il faut avoir pour être sûr de construire sur du solide.

Document Laurent Dureau

Le mental n’est pas patient !

Cette impatiente suffit à faire capoter le processus et les bonnes résolutions avec …

La première période est un état de réceptivité totale. J’apprends grâce à l’accès à l’information.

Cet état correspond à une dynamique féminine.

La seconde, « j’ai compris » ! est le moment ou le mental s’approprie l’info et tente de la transformer. C’est une dynamique féminin/masculin.

La troisième étape est celle de l’intégration, qui permet grâce à la touche personnelle de chacun, d’apporter un « pouième » d’originalité et d’amélioration. Masculin/masculin.

Enfin la quatrième phase est celle où l’on transmet l’information.

Cette phase n’est pas obligatoire, mais même à notre insu, elle se réalise quand même puisque le processus nous a transformé et nous ne sommes plus dans la même énergie qu’au départ. La façon dont nous interagissons à changée.

Voyons maintenant en quoi nos prises de résolutions sont impactées par ce processus et donc pourquoi les bonnes résolutions n’aboutissent que rarement.

Tout commence avec une pensée, qui traduit un désir, de quelque origine qu’il soit. (besoin, manque, etc. …)

Avant toute action qui va en découler, attendez 3 heures et si à la 4ème heure elle est toujours là, voyez comment elle résonne en vous. Si son intensité à baissée, c’est qu’elle n’est pas intégrée. Elle n’est pas pertinente pour vous.

L’information vous a approchée puis s’est éloignée. Laissez tomber, ce n’est pas pour vous.

Nous savons que prendre des décisions n’est pas facile, surtout si des enjeux y sont liés.

Alors laissez passer 3 jours, et au 4ème, remettez les tenants et aboutissants sur votre gril mental afin de réexaminer la situation.

Si vous êtes toujours dans le même état d’esprit, prenez la décision.

Si non, remettez votre décision et prenez encore 3 jours de maturation.

Une pensée relève de notre corps mental et ne reste pas longtemps active.  (d’où les 3 heures)

Une décision est plutôt concernée par notre état émotionnel. (3 jours sont adaptés à ces espaces)

Pour une action, il faut encore plus de temps pour la poser.

Attendez cette fois 3 semaines, soit 21 jours, ce qui correspond à l’assimilation par le corps physique et cela en lien avec les 7 premiers chakras (3X7=21) et ajouter le jour en plus pour une intégration maximum.

Dans chaque cycle, il faut ajouter une portion pour obtenir un cycle complet.

Vous allez voir que tout est contenu dans votre intention.

Donc, si par rapport à une résolution, vous êtes capable de maintenir votre intention pendant 21 jours, vous êtes en passe de réussir à acter votre résolution.

Mais si pour une quelconque cause vous arrêtez ne serait-ce qu’un seul jour, il vous faudra recommencer tout à zéro.

Cette démarche demande donc une forte ténacité, car maintenir votre intention aussi longtemps musclera votre capacité créatrice.

On voit donc que l’impatience qui est le fait du mental égo qui veut tout, tout de suite, n’est pas en adéquation avec les lois cosmiques et divines.

C’est donc un muscle à fortifier, mais une fois qu’il est entrainé, tout devient facile comme par enchantement mais au début il faut beaucoup d’artifices pour rester concentré sur l’intention ou l’objectif pour ne pas rater un jour.

Comment maintenir l’intensité de l’intention ?

Sortir de l’impatience implique de renoncer à une certaine forme de « zone de confort », il faut changer ses habitudes et ce n’est pas facile.

Tout d’abord, il ne faut pas viser trop haut car sortir de sa zone de confort génère de la peur, de la fatigue, voire du dégout. L’effort peut être trop intense et on jette l’éponge.

A force d’échouer, on se persuade qu’on n’y arrivera jamais et alors il devient réellement impossible de changer. Le secret consiste à mettre en place un exercice pratique facile à réaliser et dont la durée sera de 21 jours. Le 22ème, vous aurez acquis la maîtrise de l’exercice.

Argument de vente pour votre mental :

Voici quelques Pdf pour vous aider à mettre en place, non pas une pratique, mais la capacité à faire aboutir vos résolutions, basée sur des pratiques faciles et aisément applicables.

Le premier est très court:

Le deuxième reprend en plus condensé le texte de l’article :

Ce troisième Pdf vous propose une pratique concrète basée sur l’observation de votre respiration :

Grace à ces petites pratiques, vous aurez « musclé » votre capacité à maintenir votre INTENTION et votre ATTENTION sur vos objectifs.

Et vous aurez beaucoup plus de facilité à faire aboutir vos résolutions ?

Dites moi comment vous avez vécu ces petits exercices et ce que ça provoque en votre fort intérieur.

N’hésitez pas à partager votre expérience dans les commentaires.

2 Comments

  1. Bonjour Alain,
    Très intéressant et j’avais envie de connaître le processus … Maintenant je vais méditer avec une autre approche.
    La définition que l’impatience est l’égo, me fait réfléchir et me donne une intention plus particulière de me concentrer davantage sur la patience.
    Merci infiniment

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